Cliquez ici >>> 🐂 la culture nous rend elle plus humaine

Contacteznous dĂšs maintenant au 01 45 24 7000, sur l’appli France Inter et sur la page Facebook de GBVF. avec. Jean-François Dortier, fondateur de Sciences humaines et fondateur et auteur unique de l'Humanologue Cynthia Fleury, philosophe, psychanalyste, dirige la chaire de philosophie Ă  l'hĂŽpital Saint-Anne Erwan DevĂšze, consultant en neurosciences, dirige Enethno-archĂ©ologie et en anthropologie sociale et culturelle, par sa « culture » nous voulons distinguer chaque groupe humain occupant un certain espace gĂ©ographique pendant une pĂ©riode donnĂ©e [11].Nous nous appuyons pour ce faire sur la rĂ©partition homogĂšne dans cet espace gĂ©ographique d'un certain nombre de types d'objets (formes de poteries, outils de silex, art LaRĂ©publique dominicaine est une nation trĂšs durable car elle produit presque toutes sortes d’aliments servis au petit-dĂ©jeuner, au dĂ©jeuner et au dĂźner Ă  travers le pays. C’est le site de la plus ancienne colonie coloniale des AmĂ©riques et le premier point d’atterrissage du Nouveau Monde de Christophe Colomb en 1492. JosĂ©phineBarbereau, historienne de l’art et spĂ©cialiste de la transmission culturelle. Elle a dirigĂ© les Ă©ditions Diane de Selliers et créé Little io, maison d’édition jeunesse qui permet aux enfants de dĂ©couvrir les mythes fondateurs et l’histoire de l’art.Karine Safa docteure en philosophie, confĂ©renciĂšre dans les Ă©coles d’ingĂ©nieurs (Polytechnique, École des Mines, Ellenous rend simplement humain car sans elle nous sommes des animaux ; elle nous rend plus humain lorsqu’elle est ouverte et universelle ; et nous rend plus humain quand elle Ă©duque en nous la moralitĂ©. Seule la culture permet Ă  l’homme de dĂ©velopper les aptitudes qui amĂšnent Ă  le qualifier d’humain. Il doit apprendre Ă  trouver Faire Des Rencontre Pres De Chez Soi. Des arbres qui parlent et des robots journalistes. Les mots de David Pescovitz font ressurgir de grandes interrogations quant au rapport de l’homme Ă  la La technologie nous parlera, elle nous donnera des indications Ă  suivre et s’il est nĂ©cessaire, elle nous commandera ». Ce sont les paroles du futurologue David Pescovitz, directeur de recherche Ă  l’Institut pour le futur de Palo Alto, en Californie, qui divise le monde. Car selon ces dĂ©clarations faites lors d’une interview Ă  le 1er avril, la nourriture, le travail, l’énergie, les neurosciences, les nanotechnologies et l’automatisation se prĂ©sentent comme des rĂ©volutions capables de redessiner radicalement les rapports entre les ĂȘtres humains, les machines et la nature. Comment ?Conseils et ordre Un arbre pourra dire “Il y a trop de pollution. Ne circulez pas en voiture pendant une semaine”. Une rue pourra avertir “Pas par ici ! Choisissez un autre itinĂ©raire”. Une autre rue pourra informer “Tous les types de moyens de transport ne peuvent circuler ici, autrement il y aurait trop de bouchons “. Ou ordonner simplement “Tu ne peux pas passer par ici“.Plus de contrĂŽle et moins de libertĂ© ? Le danger est la crĂ©ation de systĂšmes de surveillance et de contrĂŽle, nous avons pu dĂ©jĂ  en avoir un avant-goĂ»t aux Etats-Unis, dĂ©clare DavidPescovitz. Et le danger est assez Ă©levĂ©. Mais j’espĂšre que les personnes vont surtout construire un systĂšme Ă  mĂȘme de protĂ©ger leurs droits ».Entre artificiel et naturel Avec la gĂ©nĂ©tique, nous allons programmer de nouvelles formes de vie qui rĂ©pondent Ă  des objectifs tout particuliers. Nous crĂ©erons, continue le directeur californien, de nouveaux types de microbes qui ne sont pas dans la nature, capables, par exemple, d’absorber les toxines de l’environnement ou de crĂ©er de nouvelles sources d’énergie renouvelables. Nous apprendrons Ă©galement de la nature comment crĂ©er des choses de plus en plus intelligentes, tels que des minuscules robots capables de simuler le vol des abeilles. Ou d’escalader les murs, grĂące Ă  l’utilisation de nouveaux matĂ©riaux nĂ©s des Ă©tudes des geckos. Ainsi, les frontiĂšres entre nature et sciences s’effacent peu Ă  peu et nous devrons ĂȘtre encore plus attentifs quant aux consĂ©quences de nos actions sur l’équilibre de l’écosystĂšme. »Le robot et l’extinction du journalisme ? David Pescovitz est certain que nous travaillerons en collaboration Ă©troite avec des machines et nous utiliserons des robots pour amĂ©liorer nos vies et nos produits. Certains mĂ©tiers risquent mĂȘme de s’éteindre le journalisme, par exemple l’avenir du journalisme me prĂ©occupe, mais pas parce que les robots peuvent remplacer ce mĂ©tier. Car il s’agit exactement d’un exemple de la diffĂ©rence entre les missions adaptĂ©es aux machines et celles adaptĂ©es aux hommes. Les hommes sont plus performants que les machines lorsqu’il s’agit d’interagir et de toucher les gens. Contrairement aux robots, les hommes ont l’intuition. Mais surtout, les ĂȘtres humains prennent Ă  cƓur les choses, Ă  la diffĂ©rence des robots. Si le journalisme en tant qu’activitĂ© humaine continue, le robot ne sera pas de la partie. Car le travail journalistique est fondamental pour la dĂ©mocratie. Cela signifie que rĂ©aliser des enquĂȘtes qui permettent d’éclairer certains sujets, raconter les histoires qui doivent ĂȘtre entendues le journalisme est un point central pour une sociĂ©tĂ© libre ».DĂ©sir d’interactions physiques Toujours dans cette interview, un chercheur espagnol a tirĂ© la sonnette d’alarme un jour, nous devrions avoir tout sur Internet, et lorsqu’il y aura un black-out, ce sera la panique totale, nous devons conserver nos relations en chair et en os
 Au-delĂ  des possibilitĂ©s de black-out – rĂ©pond David Pescovitz – plus nous passons du temps dans le virtuel, plus le dĂ©sir d’interactions physiques, le besoin d’objets rĂ©els, l’envie de faire des rencontres, de construire, de cuisiner, devrait croitre. Car c’est justement parce que nous passons trop de temps en mode virtuel », que nous nous rendrons compte de ce qu’est le monde rĂ©el ».Les facteurs du changement Enfin, on se demande comment un jeune peut, dans notre sociĂ©tĂ© actuelle, prĂ©parer au mieux son futur. En accueillant chaque opportunitĂ© qui lui permettra de dĂ©couvrir et d’attiser sa curiositĂ©, de cĂ©lĂ©brer labeautĂ© du monde, les merveilles de la science, de la technologie, de la culture. Et en reconnaissant ce qui pourrait ĂȘtre possible. Car en ouvrant simplement les yeux sur le possible, on peut participer au changement et Ă  l’avenir du monde ».Traduit de l’édition italienne d’Aleteia par Mathilde Dehestru La culture nous humanise-t-elle ? La culture nous humanise-t-elle ? Le mot culture vient du mot latin colere, ce qui signifie cultiver », honorer » ou habiter h. La culture est l’ensemble des connaissances, des savoirs-faire, des traditions, des coutumes, propres Ă  un groupe humain, Ă  une civilisation. En philosophie, on parlera plus de culture dans le sens diffĂ©rent de la nature, c’est-Ă - dire ce qui est de l’ordre de l’acquis et non de l’innĂ©e. Lorsque la culture nous humanise, cela veut dire qu’elle fait de nous des hommes. Si nous affirmons que la culture nous humanise, comment xpliquer les comportements inhumains chez certains individus ? next page Dans un premier tem moyen de nous hum de la violence des co culture. ulture comme un rons la question mĂȘme soumis Ă  la Tout d’abord, l’homme vient au monde Ă  l’état sauvage, c’est-Ă -dire que l’homme naĂźt au sein d’un monde humain dont il dĂ©pend et dont il devra apprendre le sens. Le film L’enfant sauvage » de François Truffaut nous l’explique bien. D’aprĂšs le philosophe Kant, la discipline loi morale autonomie nous fait passer de l’état d’animal sauvage Ă  celui d’homme. Un animal est par son instinct mĂȘme tout ce qu’il peut ĂȘtre ; une raison Ă©trangĂšre a pris d’avance pour lui tous les soins indispensables. Mais l’homme a besoin de sa propre raison. Il n’a pas d’instinct, et il faut qu’il se fasse Ă  lui-mĂȘ Swige to vie' » next page lui-mĂȘme son plan de conduite. Mais, comme il n’en est pas immĂ©diatement capable, et qu’il arrive dans le monde Ă  l’état sauvage, il a besoin du secours des autres. Or, le philosophe Lucien Melson, nous l’explique trĂšs bien Avant la rencontre d’autrui, et du groupe, l’homme n’est rien ue des virtualitĂ©s aussi lĂ©gĂšres qu’une transparente vapeur Cest-Ă -dire qu’à la naissance de l’homme, tous les possibles s’ouvrent Ă  lui. Pour ce fait, l’éducation savoir et ensemble des acquisitions morales d’une personne sera une des solutions les plus prestigieuses. L’éducation est une notion de culture, c’est un hĂ©ritage une Ă©ducation nĂ©cessaire pour rendre une culture dynamique. Elle aura alors pour rĂŽle l’incarnation de la valeur dans la vie quotidienne ainsi l’homme pourra passer d’un Ă©tat sauvage, Ă  un autre Ă©tat, grĂące au devoir ĂȘtre » idĂ©al de la onscience. C’est la concrĂ©tisation de ce qui doit ĂȘtre, pour ĂȘtre homme. Cependant l’homme est un animal culturel, il est le seul ĂȘtre qui possĂšde la facultĂ© d’inventer des rĂ©ponses Ă  ses besoins et aux dĂ©fis de son environnement. Ainsi, on peut voir la culture comme une projection de l’homme, une mĂ©diation permettant Ă  Ihomme de dĂ©passer la nature, de lui fournir un environnement de pensĂ©e qui dĂ©passe l’environnement instinctuel, naturel. Cest alors une culture dynamique, elle Ă©volue car nous la transformons par notre esprit critique, nous l’humanisons. Toutefois la culture umanise l’homme, dans le sens oĂč elle est un ensemble de sav 2 OF s l’humanisons. Toutefois la culture humanise l’homme, dans le sens ou elle est un ensemble de savoirs humains qui dĂ©passent tout homme particulier, finalement c’est l’humanitĂ© qui humanise l’homme Ă  travers la culture. NĂ©anmoins, mĂȘme si la culture nous humanise, elle n’empĂȘche pas des comportements inhumains. En effet, la question part d’un constat l’homme peut ĂȘtre inhumain. Effectivement, le spectacle de l’histoire nous le montre. Nombreuses sont les atrocitĂ©s et les horreurs que les hommes euvent commettre, cependant le langage est paradoxal, nous qualifions spontanĂ©ment d’inhumains les comportements atroces, qui nous choquent, que l’on juge d’immoraux, rĂ©voltants, qui sont le thĂšme de notre rencontre. Ils sont pourtant spĂ©cifiquement humains, puisqu’on ne les retrouve dans aucune autre espĂšce vivante. Cependant ces comportements peuvent provenir de certaines cultures, car aucune culture n’est statique, elle change au fil du temps et au fil des gĂ©nĂ©rations. Elle Ă©volue. C’est pourquoi la culture peut ĂȘtre la consĂ©quence de comportements inhumains hez certains individus. Nous pouvons aussi parler d’ethnocentrisme dire qu’un ĂȘtre est inhumain, c’est dire qu’il est diffĂ©rent de nous ; on ne peut faire autrement, car nous ne pouvons nous Ă©chapper de notre systĂšme culturel ; nous le projetons inconsciemment sur toutes les autres cultures. Montaigne, philosophe, expliqua Il n’y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, Ă  ce qu’on m’en a rapportĂ©, sinon que chacun ap 3 OF s et de sauvage en cette nation, Ă  ce qu’on m’en a rapportĂ©, sinon que chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage; omme de vrai, il semble que nous n’avons d’autre mirage de la vĂ©ritĂ© et de la raison que l’exemple et idĂ©e des opinions et usages du pays oĂč nous sommes ». Le mot barbare vient du grec barbaros qui signifie qui ne parle pas un langage humain. Ce que Montaigne voulait dire c’est que, l’idĂ©e de barbarie est une opinion subjective, un prĂ©jugĂ©, une affaire de croyance. La barbarie est le fait de ceux qui jugent et non ceux qui sont jugĂ©s. Le barbare, c’est d’abord l’homme qui croit Ă  la barbarie » d’aprĂšs C. LĂ©vi-Strauss. Certains comportements ou actes inhumains sont qualifiĂ©s de crime envers l’humanitĂ© ou envers les communautĂ©s du monde. un exemple est celui de Charlie Hebdo. Ceux qui ont fait cet un attentat attaque contre les biens, sont des ĂȘtres immoraux, leurs comportements envers les citoyens français sont inhumains. D’aprĂšs Jean-JaurĂšs 1910 Partout oĂč il y a des patries, c’est-Ă -dire des groupes historiques ayant conscience de leur continuitĂ© et de leur unitĂ©, toute atteinte Ă  la libertĂ© et ? l’intĂ©gralitĂ© de ces patries est un attentat contre la civilisation, une echute en barbarie. » D’aprĂšs cette citation nous pouvons dire que seul ceux pouvant faire des actes tel qu’un attentat, un crime ou un gĂ©nocide sont qualifiĂ©s d’inhumains, ces hommes ont essayĂ© de tuer la parole libre, la libertĂ© de penser et de s’exprimer. Gustave Flaubert rĂ©pliqua un jour La cens 4 OF S parole libre, la libertĂ© de penser et de s’exprimer. Gustave Flaubert rĂ©pliqua un jour La censure, qu’elle qu’elle soit, me paraĂźt une monstruositĂ©, une pire chose que l’homicide. L’attentat contre la pensĂ©e est un crime de lĂšse-Ăąme. ». Du mĂȘme avis, Voltaire a dit »Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire » Nous pouvons donc conclure que la culture nous humanise, mais pas assez. Tous les faits culturels ne sont pas tous acceptables, certes il est impossible de poser un jugement moral, toutes les conduites se valent donc toutes les cultures ont la mĂȘme valeur cannibalisme, sacrifice humain
 . Toutefois l’impacte de la moral est trĂšs important, elle permet de recadrer mais aussi de pouvoir freiner voir stopper des comportements inhumains. La culture joue un rĂŽle important dans notre sociĂ©tĂ©, elle nous humanise mais l’ĂȘtre humain peut aussi la transformer grĂące Ă  un esprit critique. Avec la culture et l’esprit critique la sociĂ©tĂ© Ă  Ă©voluĂ© en concevant des rĂšgles, et que ces rĂšgles permettent Ă  l’homme de se construire par rapport Ă  la communautĂ© qui l’entoure. Et que peut ĂȘtre que l’inhumain ne vient pas forcĂ©ment et seulement de la culture mais justement de l’envie de s’en dĂ©faire, et de ce fait d’aller Ă  contre sens par rapport Ă  notre Ă©thique et morale qui sont toutes deux culturelles. S OF s Certains faits intĂ©ressants sur la RĂ©publique dominicaine sont liĂ©s Ă  sa taille. C’est le deuxiĂšme plus grand pays des CaraĂŻbes, couvrant une superficie de 18 704 miles carrĂ©s. Le pays compte 10,65 millions d’habitants. La masse continentale de la RĂ©publique dominicaine est partagĂ©e avec sa nation voisine d’HaĂŻti. Qu’est-ce qui rend la RĂ©publique Dominicaine unique ? La RĂ©publique dominicaine est une nation trĂšs durable car elle produit presque toutes sortes d’aliments servis au petit-dĂ©jeuner, au dĂ©jeuner et au dĂźner Ă  travers le pays. C’est le site de la plus ancienne colonie coloniale des AmĂ©riques et le premier point d’atterrissage du Nouveau Monde de Christophe Colomb en 1492. Qui est cĂ©lĂšbre en RĂ©publique Dominicaine ? dominicain Albert Pujols. 16 janvier 1980. Joueur de baseball. Natti Natacha. 10 dĂ©cembre 1986. Rafael LeĂłnidas Trujillo Molina. 24 octobre 1891. Ancien prĂ©sident de la RĂ©publique dominicaine. Dania RamĂ­rez. 08 novembre 1979. Actrice. Junot Diaz. 31 dĂ©cembre 1968. Yordano Ventura. 03 juin 1991. DashieXP. 11 juin 1985. Massy Arias. 23 novembre 1988. Pourquoi la RĂ©publique dominicaine est-elle pauvre ? La pauvretĂ© du pays a plusieurs causes, notamment les catastrophes naturelles et la corruption du gouvernement. Jennifer Bencosme, une Dominicaine qui a parlĂ© au projet Borgen, explique sa conviction que beaucoup de gens veulent quitter le pays pour trouver de meilleures conditions de vie et de travail. Qui est une personne cĂ©lĂšbre de la RĂ©publique Dominicaine Pourquoi est-elle cĂ©lĂšbre ? RĂ©publique dominicaine – Dominicains cĂ©lĂšbres Juan Pablo Duarte 1813-1876, hĂ©ros national de la RĂ©publique dominicaine, Ă©tait le chef de la cĂ©lĂšbre “La Trinitaria”, avec Francisco del Rosario SĂĄnchez 1817-1861 et RamĂłn MatĂ­as Mella 1816- 64, qui a proclamĂ© et obtenu l’indĂ©pendance d’HaĂŻti en 1844. Qui est le souverain de la RĂ©publique Dominicaine ? L’actuel prĂ©sident de la RĂ©publique dominicaine est Luis Abinader du Parti rĂ©volutionnaire moderne , qui a remportĂ© les Ă©lections gĂ©nĂ©rales de la RĂ©publique dominicaine de 2020 et a pris ses fonctions le 16 aoĂ»t 2020 en remplacement de Danilo Medina. Quelle est la partie la plus pauvre de la RĂ©publique Dominicaine ? Niveau bas lĂ  oĂč il y a plus de pauvretĂ© et moins d’indice de dĂ©veloppement humain Elias Piña. Silex. IndĂ©pendance. Bahoruco. Le Seibo. Niveau moyen bas pauvretĂ© moyenne Saint-Domingue. Mont Plata. Azua. La RĂ©publique dominicaine fait-elle partie des États-Unis ? La RĂ©publique dominicaine occupe la partie orientale de l’üle d’Hispaniola qu’elle partage avec HaĂŻti. En raison de ses relations diplomatiques Ă©troites avec les États-Unis depuis 1884, de nombreuses personnes pensent que la RĂ©publique dominicaine fait partie des États-Unis. Cependant, les deux sont des États souverains avec des gouvernements sĂ©parĂ©s. De quelle nationalitĂ© est la RĂ©publique Dominicaine ? EthnicitĂ©. La population de la RĂ©publique dominicaine est majoritairement d’ethnie mixte africaine et europĂ©enne, et il existe de petites minoritĂ©s noires et blanches. Pouvez-vous utiliser votre tĂ©lĂ©phone portable en RĂ©publique Dominicaine ? Utilisation de votre tĂ©lĂ©phone portable en RĂ©publique dominicaine Vous pouvez acheter une carte SIM locale chez Orange ou Claro pour environ 10 USD vous devez apporter votre passeport et votre tĂ©lĂ©phone avec vous selon la loi dominicaine, la mettre dans votre tĂ©lĂ©phone, puis utiliser prĂ©-payĂ© cartes pour appeler Ă  la maison. Pourquoi la RĂ©publique dominicaine est-elle importante pour les États-Unis ? La position du pays comme la plus grande Ă©conomie des CaraĂŻbes, le deuxiĂšme plus grand pays en termes de population et de masse terrestre, avec un important commerce bilatĂ©ral avec les États-Unis, et sa proximitĂ© avec les États-Unis et d’autres petits pays des CaraĂŻbes font de la RĂ©publique dominicaine un partenaire important dans affaires hĂ©misphĂ©riques. Les tremblements de terre sont-ils frĂ©quents en RĂ©publique dominicaine ? En RĂ©publique dominicaine, il y a des tremblements de terre en partie importants avec des forces supĂ©rieures Ă  7,0, qui causent des dommages dans un rayon de plus de 100 kilomĂštres. MesurĂ©s par la taille du pays, les tremblements de terre se produisent au-dessus de la moyenne, mais pas trop souvent. 8 personnes sont mortes depuis 1950 par les consĂ©quences directes des tremblements de terre. Qui a fondĂ© la RĂ©publique Dominicaine ? Diego Colomb D’oĂč viennent les esclaves en RĂ©publique Dominicaine ? La plupart d’entre eux venaient d’Afrique de l’Ouest et du Congo. Les premiers Africains en RĂ©publique dominicaine sont venus en 1502 d’Espagne, 8 ans plus tard, des esclaves nĂ©s en Afrique sont venus en grand nombre. Ils ont Ă©tĂ© forcĂ©s de travailler dans les mines, les plantations de sucre, l’élevage, les cow-boys, les bonnes, l’agriculture et autres. Quand l’esclavage a-t-il pris fin en RĂ©publique dominicaine ? Abolition et indĂ©pendance Abolition dĂ©finitive de l’esclavage Date d’indĂ©pendance HaĂŻti 1793 1804 RĂ©publique Dominicaine 1822 1844 Costa Rica 1824 1821 Le Salvador 1824 1821 Quelle est la culture de la RĂ©publique Dominicaine ? La culture dominicaine est un mĂ©lange des cultures des colons espagnols, des esclaves africains et des indigĂšnes TaĂ­no. Les Ă©lĂ©ments culturels europĂ©ens, africains et taĂ­no sont les plus importants dans la cuisine dominicaine, la structure familiale, la religion et la musique. Quand les États-Unis ont-ils envahi la RĂ©publique dominicaine ? RĂ©publique dominicaine, 1916-1924. DĂ©clenchĂ© par des inquiĂ©tudes quant Ă  une Ă©ventuelle utilisation allemande de la RĂ©publique dominicaine comme base d’attaques contre les États-Unis pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, le gouvernement amĂ©ricain a commencĂ© une occupation et une administration militaires de ce pays en 1916, qui dureront jusqu’en 1924. Dans quelles guerres la RĂ©publique dominicaine a-t-elle Ă©tĂ© ? Liste Conflit Combattant 1 Victimes Guerre d’indĂ©pendance dominicaine 1844–1856 RĂ©publique Dominicaine inconnue Guerre de restauration dominicaine 1863–1865 RĂ©publique Dominicaine 4 000 morts Guerre de Six Ans 1868-1874 LibĂ©raux dominicains inconnue Guerre civile dominicaine 1911–12 1911–1912 Gouvernement dominicain plus de 3 000 morts Qu’est-ce qui a causĂ© la guerre civile dominicaine ? La guerre civile dominicaine espagnol Guerra Civil Dominicana a eu lieu entre le 24 avril 1965 et le 3 septembre 1965 Ă  Saint-Domingue , en RĂ©publique dominicaine . Tout a commencĂ© lorsque des partisans civils et militaires de l’ancien prĂ©sident Juan Bosch ont renversĂ© le prĂ©sident par intĂ©rim Donald Reid Cabral. Quand la guerre civile dominicaine a-t-elle commencĂ© ? 24 avril 1965 – Septembre Quand HaĂŻti s’est-il sĂ©parĂ© de la RĂ©publique dominicaine ? 1697 Que s’est-il passĂ© lors de l’indĂ©pendance de la RĂ©publique dominicaine ? rĂ©alisation de l’indĂ©pendance En 1844, les dominicains ont rejetĂ© l’hĂ©gĂ©monie haĂŻtienne et ont dĂ©clarĂ© leur souverainetĂ©. Plus tard, ils revinrent briĂšvement Ă  la couronne espagnole et obtinrent leur indĂ©pendance dĂ©finitive en 1865. A La culture humaine en gĂ©nĂ©ral. Humaine parce qu'elle est Ɠuvre humaine et parce qu'elle est le moyen de rendre l'homme plus humain. On dĂ©signe par cette expression, l'ensemble des manifestations de la pensĂ©e et de l'action humaines. Ainsi, l'art, la technique, la science, la religion et le culte des morts mais aussi la langue, les institutions politiques, les mƓurs sont des Ă©lĂ©ments constitutifs de la culture. Ils sont propres Ă  l'espĂšce humaine et portent la marque de l'esprit. La philosophie, qui est rĂ©flexion, correspond Ă  l'Ă©panouissement supĂ©rieur de la culture. C'est l'esprit qui s'interroge sur lui-mĂȘme. B La culture au sens sociologique ou ethnique. C'est l'ensemble des maniĂšres de penser, d'agir et de sentir propres Ă  une collectivitĂ© donnĂ©e. La culture d'une sociĂ©tĂ© consiste en la totalitĂ© des façons de penser et de rĂ©agir et des modes de conduites accoutumĂ©s que les membres de cette sociĂ©tĂ© ont acquis par voie d'Ă©ducation, d'imitation et qui leur sont plus ou moins communes » Michel Leiris. Parce qu'ils sont tous membres d'une collectivitĂ©, les hommes sont des ĂȘtres culturels. Ils sont ce que leur groupe social les fait ĂȘtre. Ils ont si bien intĂ©riorisĂ© les maniĂšres d'ĂȘtre et de penser, hĂ©ritĂ©es de leurs groupes, que celles-ci sont vĂ©cues comme naturelles. Elles se sont solidifiĂ©es en eux, sous forme de dispositions permanentes » que Bourdieu appelle des habitus. D'oĂč le risque de confusion entre le naturel et le culturel. PB Pourquoi la confusion du culturel et du naturel est-elle redoutable ? Parce que le naturel c'est l'innĂ©, le culturel l'acquis. L'innĂ© est ce qui est commun Ă  tous les membres d'une mĂȘme espĂšce. Les critĂšres du naturel sont, comme le souligne LĂ©vi-Strauss, l'universalitĂ© et la constance. Les critĂšres du culturel sont la particularitĂ© et le caractĂšre changeant. En prenant pour naturel, ce qui est culturel on est coupable d'universaliser indĂ»ment une particularitĂ© culturelle, d'absolutiser du relatif avec les effets dĂ©sastreux d'une telle confusion -Ceux qui relĂšvent d'une autre particularitĂ© culturelle ne sont pas identifiĂ©s comme des hommes Ă  part entiĂšre. De fait si ma culture incarne Ă  mes yeux l'universalitĂ© humaine, ceux qui n'ont pas la mĂȘme culture que moi ne sont pas des hommes. Ex Pour les Grecs du monde antique, ceux qui ne parlent pas grec sont des barbares. Pour les Chinois, ceux qui ne parlent pas chinois ont des cervelles d'oiseau ils gazouillent. Ceux qui ne sont pas des Locandons ne sont pas des hommes puisque dans la langue de cette ethnie, il n'y a qu'un seul mot pour signifier indiffĂ©remment homme ou Locandon. Pour l'Occidental de l'Ă©poque des grandes dĂ©couvertes ceux qui ne sont pas des EuropĂ©ens sont des sauvages De mĂȘme, lorsque Jules Ferry fait voter les lois sur la colonisation, il s'agit d'arracher les peuples colonisĂ©s Ă  l'arriĂ©ration afin de les faire entrer dans la catholicitĂ© katholicos universel occidentale. Il s'ensuit que cette confusion est pourvoyeuse d'une violence terrible ethnocide, gĂ©nocide, colonisation, exclusion de tout ce qui n'est pas conforme au systĂšme de valeurs d'une culture particuliĂšre, xĂ©nophobie. -L'ethnocentrisme est le vice constitutif d'une telle mĂ©prise. On appelle ethnocentrisme la tendance consistant Ă  porter des jugements de valeur sur des pratiques culturelles diffĂ©rentes des nĂŽtres en fonction de notre propre systĂšme de valeurs implicitement considĂ©rĂ© comme le meilleur. Sociologiquement parlant, il faut avoir bien prĂ©sent Ă  l'esprit, qu'il n'y a pas la culture mais des cultures. Dans le temps et dans l'espace il y a une multiplicitĂ© opposable Ă  unitĂ©et une diversitĂ© opposable Ă  identitĂ© de cultures. Chacune a son propre systĂšme de valeurs, ses propres habitus. Ce qui Ă©videmment est une source inĂ©puisable de problĂšmes du point de vue des conditions de possibilitĂ© de la communication des hommes et de leur coexistence pacifique. PB Faut-il dĂ©cliner l'humanitĂ© au pluriel et admettre qu'il n'y a pas d'universalitĂ© humaine ou bien malgrĂ© l'Ă©vidente diversitĂ© humaine, faut-il penser que les particularismes culturels ne sont que des maniĂšres de singulariser une nature humaine une et universelle ? D'un cĂŽtĂ© il y a ceux qui, Ă  la maniĂšre de Joseph de Maistre hier, ou du communautarisme aujourd'hui, identifient l'humanitĂ© Ă  l'ethnicitĂ© ; de l'autre l'humanisme rationaliste des LumiĂšres qui refuse cette position attentatoire Ă  la dĂ©finition abstraite de la nature humaine par la conscience, la raison ou la libertĂ©. Cf. Cours sur la conscience. Certes les hommes sont tous diffĂ©rents par leurs cultures mais celles-ci ne sont qu'une maniĂšre de donner forme concrĂšte Ă  une caractĂ©ristique universelle que Rousseau propose de dĂ©chiffrer comme perfectibilitĂ©. La perfectibilitĂ© est la capacitĂ© de changer, autrement dit de ne pas plus ĂȘtre enfermĂ© dans les limites d'une nature que dans celles d'une culture. Dans cette perspective, il y a antinomie entre une doctrine dĂ©niant Ă  l'homme le droit de changer de nation, de religion ou autre donnĂ©e factuelle et les prĂ©supposĂ©s des LumiĂšres. La maniĂšre rationaliste de dĂ©finir la nature humaine fonde l'unitĂ© du genre humain et prĂ©suppose que tout homme, quel que soit son conditionnement ethnique, a la possibilitĂ© de prendre du recul par rapport aux valeurs de son groupe pour les juger en fonction de valeurs universalisables en droit car si le jugement se fonde sur des valeurs relatives Ă  un particularisme culturel il est coupable d'ethnocentrisme. On appelle cette possibilitĂ© inhĂ©rente, affirme-t-on, Ă  un ĂȘtre douĂ© de raison, la libertĂ© intellectuelle et morale. PB Qu'est-ce que la raison ? Est-elle bien une facultĂ© universelle ou cette prĂ©tention n'est-elle que l'alibi derriĂšre lequel officie l'impĂ©rialisme occidental ? C'est lĂ  l'argument des communautaristes. Les valeurs de la raison la vĂ©ritĂ© objective, la science, la libertĂ©, l'Ă©galitĂ© en droit de tous les hommes etc. seraient des valeurs occidentales, non des valeurs universalisables en droit Ă  dĂ©faut de l'ĂȘtre en fait. Ce dĂ©bat travaille le monde dans lequel nous vivons. Il est clair que si l'on refuse d'admettre l'universalitĂ© de la raison, il faut renoncer Ă  l'idĂ©e d'une nature humaine universelle et conclure que les membres des diverses cultures ne peuvent pas se comprendre vraiment et sont condamnĂ©s, au mieux Ă  se tolĂ©rer, au pire Ă  se combattre. En tout cas il devient difficile d'envisager la possibilitĂ© d'un Ă©tat multiethnique apaisĂ©. La ghettoĂŻsation est notre destin. PB Cette position n'est-elle pas un sophisme ? La connaissance objective, la sĂ©paration du politique et du religieux, l'Ă©galitĂ© en droit des hommes et des femmes, la dĂ©mocratie ne sont pas des donnĂ©es. Partout oĂč ces valeurs ont triomphĂ©, elles ont Ă©tĂ© conquises contre une culture thĂ©ologico-politique qui, comme aujourd'hui dans certains espaces culturels, faisait de la rĂ©sistance. Or cette libertĂ© que nous devons au combat des LumiĂšres n'est-elle pas ce qui est Ă  conquĂ©rir par tous les hommes ? Kant a eu la faiblesse de penser que cette tĂąche Ă©tait le devoir de l'humanitĂ© en tant qu'elle est porteuse de raison. Exclure des membres de l'espĂšce humaine de cette noble vocation est une injure faite Ă  l'humanitĂ© considĂ©rĂ©e comme fin en soi. C'est une faute morale. C La culture au sens philosophique ou humaniste. Se cultiver consiste, en ce sens, Ă  dĂ©velopper son humanitĂ©. L'humanitĂ© ne se rĂ©duisant pas Ă  l'ethnicitĂ©, se cultiver ne se limite pas Ă  intĂ©rioriser les valeurs de son groupe. La culture est le perfectionnement d'une personne qui a dĂ©veloppĂ© tout en s'instruisant et en s'Ă©duquant, sa sensibilitĂ©, son jugement, ses aptitudes physiques et morales. Se cultiver revient Ă  rompre les frontiĂšres de l'ethnique, Ă  Ă©largir son horizon en voyageant dans l'Ă©trangetĂ©. En parcourant d'autres univers que le sien par le voyage, l'Ă©change, l'Ă©tude on ouvre son esprit, on dĂ©couvre ce qu'il y a de relatif dans sa propre culture, on fait comme disaient les Anciens ses humanitĂ©s » c'est-Ă -dire l'apprentissage de l'universel. Partager Marqueursculture, ethnie, ethnocentrisme, instinct, intelligence, nature, perfectibilitĂ©, PromĂ©thĂ©e Dissertation la culture travaille-elle nous rend elle plus humain ?» Introduction La culture dĂ©signe ce qui est diffĂ©rent de la nature, c’est-Ă -dire ce qui est de l’ordre de l’acquis et non de l’innĂ© Ex le langage, la lecture, le mode de vie, la religion etc. Plus humain » potentiel, virtualitĂ©, possibilitĂ© que nous avons en nous La culture nous rend elle plushumain » = les connaissances que l’on acquiĂšre aux cours de sa vie font elle de nous une bonne personne ? Ce qui est intĂ©ressant dans ce sujet c’est comment voyons nous l’ĂȘtre humain Car se mot a plusieurs sens et de dĂ©montrer qu’est ce que la culture. Le rapport entre la culture et l’humain. Plan La culture nous rend plus humain Mais, la culture peut aussi nousdĂ©shumaniser Conclusion quel est finalement le sens de la culture 1 – la culture nous rend plus humain La culture nous rend plus humain du faite qu’on acquiĂšre des connaissances tout au long de notre vie que se soit par quelqu’un d’autre ou par nous mĂȘme, nous parlerons de la prĂ©histoire et des premiers hommes. C’est en effet Ă  partir de cette pĂ©riode que la culture a commencĂ© Ă jouer un rĂŽle trĂšs important dans l’aboutissement de l’homme. C’est grĂące Ă  elle que l’homme a pu se dĂ©marquer des animaux en domptant la nature et non en vivant selon elle. C’est par la formation du langage et du dialogue conduisant Ă  une vie en sociĂ©tĂ© que l’homme a pu Ă©chapper Ă  son instinct naturel animal et devenir humain. La culture a ainsi permis l’élaboration des arts, des lettres, demodes de vie, de droits fondamentaux, de systĂšmes de valeur, de traditions et de religions. La culture sera donc un hĂ©ritage que chaque homme recevra de ses ancĂȘtres. Celle-ci lui permettra de s’intĂ©grer dans la sociĂ©tĂ©, de s’épanouir avec une bonne santĂ© mentale, de pouvoir communiquer avec le monde qui l’entoure, de partager et de construire sa vie. Elle lui permettra Ă©galement de bĂ©nĂ©ficier deconnaissances dĂ©jĂ  acquises par nos ancĂȘtres et ainsi d’en retenir les erreurs afin de ne plus les commettre. Ainsi la culture rend plus humain car elle enseigne et l’homme apprend Ă  vivre mieux, Ă  comprendre. Par exemple, le Racisme semble plus liĂ© Ă  une mauvaise culture qu’à une vĂ©ritable haine de l’homme. La culture c’est aussi choisir, c’est l’homme qui trace sont chemin tout au long de savie avec ces erreurs et ces satisfactions sans pouvoir retourner en arriĂšre En apprenant diffĂ©rentes chose de la vie qui nous entour nous devenons plus comprĂ©hensif envers les autres, plus respectueux et plus sociables ce qui fait de la culture une bonne approche des l’ĂȘtre humains. La Culture Nous Rend T-Elle Plus Humain ? Tout abord, nous pouvons nous demander ce que l’on entend parle terme humain ». Par dĂ©finition ĂȘtre » humain » signifie ĂȘtre sensible Ă  la pitiĂ©, bienfaisant. Pour prouver que la culture travaille Ă  rendre l’homme plus humain, nous parlerons de la prĂ©histoire et des premiers hommes. C’est en effet Ă  partir de cette pĂ©riode que la culture a commencĂ© Ă  jouer un rĂŽle trĂšs important dans l’aboutissement de l’homme. C’est grĂące Ă  elle que l’homme a pu sedĂ©marquer des animaux en domptant la nature et non en vivant selon elle. C’est par la formation du langage et du dialogue conduisant Ă  une vie en sociĂ©tĂ© que l’homme a pu Ă©chapper Ă  son instinct naturel animal et devenir humain. La culture a ainsi permis l’élaboration des arts, des lettres, de modes de vie, de droits fondamentaux, de systĂšmes de valeur, de traditions et de religions. La culturesera donc un hĂ©ritage que chaque homme recevra de ses ancĂȘtres. Celle-ci lui permettra de s’intĂ©grer dans la sociĂ©tĂ©, de s’épanouir avec une bonne santĂ© mentale, de pouvoir communiquer avec le monde qui l’entoure, de partager et de construire sa vie. Elle lui permettra Ă©galement de bĂ©nĂ©ficier de connaissances dĂ©jĂ  acquises par nos ancĂȘtres et ainsi d’en retenir les erreurs afin de ne plus les


la culture nous rend elle plus humaine